Passion : équitation, saut d’obstacles, entrainer chevaux et cavaliers
Pourquoi avoir choisi l’IDRAC Business School ?
Mon projet est de monter une écurie avec des propriétaires de chevaux pour la compétition. Par conséquent, j’ai fait le choix de faire un BTS GPME (Gestion de PME) que je complèterai ensuite par un diplôme d’Etat DEJEPS pour devenir entraineur. Avec ces deux diplômes, j’aurai les capacités de gérer ma structure et enseigner.
J’ai choisi l’IDRAC Business School puisque cette école me permet d’allier sport et études. En études supérieures, souvent le problème des sportifs de haut niveau est de pouvoir aménager son temps et de justifier les absences pour compétition. A l’IDRAC Business School ils s’adaptent et nous permettent de tout faire.
C’est pendant les journées portes ouvertes que j’ai découvert cet accompagnement, ils se sont montrés compréhensifs et encourageants. Par la suite j’ai eu des entretiens et je me suis inscrite.
Les compétitions me font manquer des cours parfois, mais on peut rattraper si on est bien organisé. En revanche, mener à la fois les études et l’entrainement sportif coupe de la vie sociale étudiante : mon écurie est dans l’Isère, ce qui me prend 3 à 4 heures pour le trajet et le travail avec les chevaux, autant de temps que je ne passe pas avec les autres étudiants.
A l’IDRAC Business School, le cursus du BTS est très intéressant ; nous sommes 20 élèves en alternance, avec des disciplines différentes, deux jours par semaine à Lyon : cours de gestion, marketing, communication, langues. C’est assez scolaire (sauf les cas d’entreprise) mais nos relations avec les enseignants sont très ouvertes ; ils sont très présents, positifs et réactifs. On fait le bilan régulier de mes notes et de l’avancement de mes études. On se sent soutenus. De plus, les réseaux sociaux de l’école sont très vivants et il y a beaucoup d’évènements au campus.
Conseils aux sportifs de haut niveau qui envisagent des études supérieures :
Tagué bts gestion des pme, business school, camille rigaud, équitation, idrac, Lyon, sport de haut niveau