Fondée en 1905 et première école supérieure privée à avoir été labellisée *CTI, l’ESME Sudria a formé plus de 14000 ingénieurs bénéficiant ainsi d’un des réseaux de diplômés les plus puissants de France (classé à la 10ème place par **l’IESF). L’école propose une formation pluridisciplinaire sur 5 ans composée d’un solide tronc commun, auquel s’ajoute un parcours personnalisable, qui permet à chaque élève de construire progressivement son projet professionnel.
Les parcours proposés – Innovation, International, Energie et environnement, Ingénieur-manager et Biotech et santé – débouchent en fin de cursus sur un choix de 12 majeures et 20 double-diplômes. L’élève a la possibilité d’approfondir des domaines comme la mécatronique, l’intelligence artificielle, l’ingénierie financière, les énergies renouvelables, la motorisation hybride et électrique des véhicules, le cloud et le big data, l’ingénierie médicale…
Implantée à Paris, Lyon, Lille et Bordeaux, l’école diplôme chaque année 250 ingénieurs. 400 places sont ouvertes en 1ère année aux titulaires d’un Bac S mais il est également possible à des CPGE et des Bac +3/+4 de rejoindre le cycle ingénieur.
Deux tiers des stages de fin d’études débouchent sur une proposition d’embauche. 85 % des diplômés de l’école trouvent un emploi moins de 2 mois après la fin de leurs études avec un salaire moyen de 41000 euros/an. « Au cours des cinq années d’études, précise Véronique Bonnet, directrice de l’ESME Sudria, les étudiants peuvent cumuler près d’un an et demi d’expérience professionnelle en France et à l’international. » Cette proximité avec les entreprises est un gage de qualité de l’école et facteur de réussite pour ses diplômés.
» Au lycée, j’étais passionnée par de nombreux domaines scientifiques. C’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers une école d’ingénieurs généraliste. L’ESME Sudria m’a donné la possibilité de découvrir plusieurs domaines de façon concrète par la réalisation de projets. La prépa intégrée m’a permis de travailler sereinement avec les autres étudiants. Tout est fait pour que chacun se sente bien. Après mon semestre à l’international j’envisage de poursuivre ma formation en apprentissage afin de devenir ingénieure dans le numérique. » Marie-Dominique Biard, 1ere année du cycle ingénieur, campus de Lyon
*CTI Commission des titres d’ingénieur
**IESF Société des ingénieurs et scientifiques de France
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